Abstract

Les instruments de marché proposés pour soustraire des forêts tropicales riches en biodiversité à l'exploitation forestière et en faire des zones de conservation, visent à l’acquisition des droits d’usage, non de la propriété de ces terres. Si certains instruments requièrent une généralisation de la propriété privée, les concessions de conservation s’appuient sur des compensations financières versées à l'État, aux exploitants et aux populations locales pour prix du renoncement au développement de terres. Ce principe de versement de rentes contre le développement doit être discuté selon les critères de l’efficacité, de l’équité et de la légitimité.

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