Abstract

Le soubassement psychopathologique de l’obésité se dévoile dans les symptômes fixés à l’oralité, dont l’excès et le besoin de l’objet nous ont conduits à établir un parallèle avec les mécanismes psychiques à l’œuvre dans l’addiction. C’est sous fond de manque que nous proposons de lire la clinique de l’obésité, avec des enjeux psychiques et fantasmatiques qui visent à le combler et qui élèveraient le symptôme en mécanisme de défense, avec une répétition qui le transformerait en modalité de jouissance, tel que nous le retrouvons dans l’addiction.

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