Abstract

Le 16e siècle romain correspond au déploiement au long cours de sa connaissance et redéfinition de l’Orient, à la croisée de multiples savoirs et pratiques, savantes ou ordinaires, qui redessinent les liens entre Antiquité et monde contemporain. L’article en propose une lecture qui vise à mettre en lumière une réarticulation des références spatio-temporelles de l’Urbs, espace privilégié d’une confrontation de l’Egypte, construite en pivot de l’Orient ancien, et du Japon, expression du moderne Orient extrême. Il fait l’hypothèse que cette confrontation ouvre des voies de compréhension nouvelles aux processus de production des savoirs dans la capitale pontificale.    

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