Abstract
AbstractThis paper presents the results of a survey of chief executive officers and chief financial officers of large Canadian companies. We report on the state of corporate financial decision making in Canada, based on responses of 133 respondents.Our results indicate that most surveyed firms follow standardized methods of capital budgeting, with internal rate of return and payback period dominating the net present value method. However, forecasting methods are still dominated by subjective management estimates and expert opinions. Consensus rather than mathematical modelling seems to be the norm. Although the weighted average cost of capital seems to be the preferred discount rate in evaluating investment decisions, about 25 percent of the firms, including some public firms, use cost of debt as their cost of capital. The determination of cost of equity capital still seems to be mainly judgemental, followed closely by the use of accounting rates of return. A surprisingly low number of firms indicate the use of theoretical models such as the CAPM or the dividend growth model in the estimation process. Cost of financing continues to be a concern for Canadian firms and there is an overall perception that the cost of financing is high irrespective of the source of financing.Our overall results indicate that significant challenges lie ahead for corporate management in Canada and its ability to be internationally competitive. In spite of the well‐developed capital markets, executives in our survey indicate a disturbingly high perceived differential between the cost of internal and external financing, and a very low use of analytical methods.RésuméLes auteurs présentent les résultats d'un sondage auprès de chefs d'entreprises et de chefs de services financiers d'importantes compagnies canadiennes. Ils font état des décisions financières prises au Canada d'après les réponses au sondage de 133 répondants.Les résultats indiquent que la plupart des compagnies répondant au sondage utilisent des méthodes d'établissement de budget des investissements standardisés. Les méthodes du taux de rendement interne et de période de récupération dominent sur la méthode de la valeur actualisée nette. De plus, les méthodes de prévision sont encore dominées par l'opinion subjective des gestionnaires et les opinions des experts. La norme semble ětre le consensus au lieu de l'utilisation des moděles mathématiques. La méthode du coǔt moyen pondéré semble ětre la méthode préférée du coǔt du capital, mais, auprès de presque 25% des compagnies, incluant certaines compagnies publiques, le coǔt des frais d'emprunt comme leur coǔt du capital est utilisé. Le calcul du coǔt du capital semble encore ětre calculé d'une façon subjective suivi de très près par l'utilisation du taux de rendement comptable. Un montant peu élevé de compagnies se servent de modèles théoriques tel que le modèle d'équilibre des marchés financiers ou du modèle de croissance des dividendes dans le processus d'estimation. Le coǔt du financement semble ětre une préoccupation pour les compagnies canadiennes et la perception générale est que le coǔt du financement demeure haut, indpendamment de la source de financement.Les résultats globaux indiquent qu'il y aura un défi important à relever pour les gestionnaires de compagnies au Canada ainsi que leurs habiletés à demeurer compétitifs sur le plan international. En dépit des marchés financiers bien développés, les cadres dans notre sondage ont indiqués un différentiel très élevé entre le coǔt de financement interne et externe, ainsi qu'une faible utilisation des méthodes analytiques.
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