Abstract

Click to increase image sizeClick to decrease image sizeResumeLe transfert de e, o > i dans les syllabes fermées par la perte du ъ, ь, faible en ukrainien, était traditionnellement expliqué comme étant un exemple d’allongement compensatoire. Si on l’examine de plus près, cette explication doit être vue comme insoutenable. D’abord, il y a deux groupes de formes exemptés de ce processus. La voyelle nouvelle ou seconde dans la forme pléophonique qui dérive du proto-slavique tort est demeuré inchangée à l’exception d’une minorité d’exemples qui sont tous d’origine plus récente, quoique tort > torot is est plus ancien que ъ, ь > ø. Le deuxième groupe englobe les syllabes du type tetb sauf s’il у a eu un transfert d’intensité venant du ъ faible. Les autres cas du slaves dans lesquels l’allongement compensatoire est reconnu ne sont pas sujets à aucune exemption de la sorte. Le changement e, о > i a plutôt commencé comme un type d’assimilation intrasyllabique par laquelle e, о est élevé et réduit par le ъ, ь plus élevé, ъ, ь étant dans une syllabe qui suit.Dans les syllabes exemplifiées par tenka, le e qui précède l’intensité subit non seulement une élévation mais aussi un arrondissement, et la consonne précédente subit une palatalisation. Ceci est déroutant puisque ‘e > Ό est d’une étendue très limitée en ukrainien parce que le e n’a jamais été une voyelle palatalisé. Ainsi, le problème de e, о > í ne peut pas être résolu sans définir la règie du transfert de ‘e > Ό et de l’étendue de la palatalisation des consonnes par les voyelles antérieures dans les dialectes proto-ukrainiens. La suggestion donnée par Andersen, que le proto-slavique /е/ > [εο] partout dans des environnements variés de toutes les régions slaviques du nord, nous aide à expliquer la situation du proto-ukrainien. Dans les deux cas, tetbka et Шпъ, /е/ > [εο] en avant d’une voyelle postérieur qui suit. Dans le premier exemple, le transfert d’intensité aura pour effet que la portion arrondie de l’allophone qui diphtongue deviendra le nucléus syllabique, mais la composante antérieure sera interprété comme un glissement non syllabique qui palatalisera la consonne précédente. D’un autre coté, pour к1епъ, ou il n’y a aucun transfert d’intensité du ъ qui se produit, la présense de [εο] a prévenu que ъ exerce quelqu’influence que ce soit sur le nucléus syllabique. Pour ce qui est des syllabes qui ont la structure tetb, la présense de 6 a bloqué le changement /е/ > [εο]; donC, ь peut exercer une influence réduisante sur /е/ peu importe la position de l’intensité. Le même phénomène s’applique à Шъ ou tot/? dans lequel il n’y a pas de variant allophone comparable du /о/ qui surgit, et donc], l’intensité n’était pas un facteur dans la réduction de la force de ъ ou ь..

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