Abstract

Le but de cet article est de montrer que les recits autobiographiques feministes de Ana Castillo et de Maria Elena Lucas ne sont pas seulement des temoignages individuels mais s'inscrivent dans des relations de pouvoir au sein de la communaute Chicano, impliquant des relations ethniques mais egalement des relations de domination de genre et de classe. En particulier le je individualiste occidental est destabilise au profit d'un moi articule sur les engagements au sein de la communaute. La valeur du recit de l'experience dans la construction du savoir est egalement soulignee

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