Abstract

À l’occasion d’une expression plusieurs fois entendue lors des stages de Gestalt – « faire de la dentelle » ou « c’était de la dentelle » – et qui s’appliquait à un travail individuel qui venait de se dérouler, l’auteur cherche à comprendre de quoi est faite cette métaphore. Il fait l’hypothèse que la dimension esthétique, la survenue du plein contact mais aussi que la technique de la Gestalt avec la posture phénoménologique et la temporalité ancrée dans le processus, sont les critères qui donnent la sensation que ce qui vient de se passer est « de la dentelle ».

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