Abstract

L’article interroge les pratiques funéraires d’immigrés maghrébins et de leurs descendants à partir d’une enquête menée à Chalon-sur-Saône. Il s’agit de mesurer la force des « prérogatives mortuaires » du (ou des) groupe(s) d’appartenance dans le choix du lieu d’inhumation alors que, dans le même temps, ce choix semble de plus en plus répondre à des motivations personnelles et familiales. Comment peut-il être un indicateur de l’individuation des projets funéraires alors que le rapatriement de la dépouille mortelle demeure la norme ? À moins qu’il ne soit le symptôme de quelque chose de plus complexe et nous éclaire sur les enjeux sociopolitiques et identitaires du mourir pour les familles immigrées de confession musulmane ?

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