Abstract

Yeast has been used for thousands of years as a leavening agent and for alcoholic fermentation, but it is only in 1857 that Louis Pasteur described the microorganism at the basis of these two tremendously important economic activities. From there, yeast strains could be selected and modified on a rational basis to optimize these uses, thereby also allowing the development of yeast as a popular eukaryotic model system. This model led to a cornucopia of seminal discoveries in cell biology. For about two decades yeast has also been used as a model and a tool for therapeutic research, from the production of therapeutics and the development of diagnostic tools to the identification of new therapeutic targets, drug candidates and chemical probes. These diverse chemobiological applications of yeast are presented and discussed in the present review article.

Highlights

  • Tribouillard-Tanvier D, Beringue V, Desban N, et al Antihypertensive drug guanabenz is active in vivo against both yeast and mammalian prions

  • Cell Mol Life Sci 2015 ; 72 : 1967-87

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Summary

Construction de nouveaux modèles fondés sur ces nouvelles cibles thérapeutiques

Que la plupart de ces mutants et certaines de ces isoformes étaient dominants, ce qui expliquerait le maintien d’hétérozygotie observé pour le locus P53 chez de nombreux patients porteurs de ces mutations hotspot [14]. Les résultats de ces expériences ont ensuite été revisités par Reed Wickner qui, peu de temps après l’émergence du concept prion, suivant une intuition brillante, a démontré que ces éléments « bizarres » d’hérédité cytoplasmique non mendélienne chez la levure correspondaient en fait à des prions [17]. Des méthodes génétiques utilisant la levure elle-même, telles que les cribles d’haplo-insuffisance[3], de surexpression ou encore de létalité synthétique[4] (pour revue voir [24]), ainsi que le triple-hybride (voir plus loin), ont également été développées (Figure 2). Outre le fait qu’elles offrent la possibilité d’identifier d’éventuels candidats-médicaments, les approches de chémobiologie qui utilisent la levure peuvent également permettre la découverte de leurs cibles cellulaires, et donc potentiellement définir de nouvelles cibles thérapeutiques pour traiter les maladies correspondantes

Maladies à prions
Criblage phénotypique
Identification de nouvelles cibles thérapeutiques
CARACTÉRISATION DE MUTATIONS PATHOGÈNES
Conclusions
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