Abstract
The past decade has witnessed a sharp increase in published research on energy and buildings. This paper takes stock of work in this area, with a particular focus on construction research and the analysis of non-technical dimensions. While there is widespread recognition of the importance of non-technical dimensions, research tends to be limited to individualistic studies of occupants and occupant behaviour. In contrast, publications in the mainstream social science literature display a broader range of interests, including policy developments, structural constraints on the diffusion and use of new technologies, and the construction process itself. The growing interest of more generalist scholars in energy and buildings provides an opportunity for construction research to engage a wider audience. This would enrich the current research agenda, helping to address unanswered problems concerning the relatively weak impact of policy mechanisms and new technologies and the seeming recalcitrance of occupants. It would also help to promote the academic status of construction research as a field. This, in turn, depends on greater engagement with interpretivist types of analysis and theory-building, thereby challenging deeply ingrained views on the nature and role of academic research in construction. La décennie passée a enregistré un fort accroissement des travaux de recherche publiés sur l'énergie et les bâtiments. Le présent article fait le point sur les travaux conduits dans ce domaine, un accent particulier étant mis sur la recherche sur le bâtiment et l'analyse des aspects non techniques. Si l'importance des aspects non techniques est largement admise, la recherche tend à se limiter à des études individualistes sur les occupants et le comportement des occupants. En revanche, les publications relevant des courants dominants des sciences sociales affichent un éventail plus large d'intérêts, au nombre desquels l'élaboration des politiques, les contraintes structurelles pesant sur la diffusion et l'utilisation des nouvelles technologies, et le processus de construction lui-même. L'intérêt croissant de chercheurs plus généralistes pour l'énergie et les bâtiments donne la possibilité à la recherche sur le bâtiment de retenir l'attention d'un public plus large. Ceci enrichirait le programme de recherche actuel, en contribuant à répondre à des problèmes non résolus concernant l'impact relativement faible des mécanismes des politiques et des nouvelles technologies, ainsi que le comportement apparemment réticent des occupants. Cela contribuerait également à promouvoir le statut universitaire de la recherche sur le bâtiment en tant que domaine de recherche. Cela, à son tour, dépend d'un plus grand engagement en faveur de types interprétivistes d'analyse et d'élaboration de théories, remettant ainsi en cause des points de vue profondément enracinés quant à la nature et au rôle de la recherche universitaire dans le domaine de la construction. Mots clés: recherche sur le bâtiment, énergie, méthodologie interprétiviste, analyse bibliographique, bâtiments bas carbone, politique publique, bâtiment durable
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