Abstract

La dimension indienne de Durrel a toujours été un des thèmes de prédilection de la critique. Après tout, il est né en Inde. Ses deux parents eux-mêmes étaient nés en Inde et parlaient l’Indi et l’Urdu. Tout au long de sa vie, il évoqua l’Inde avec nostalgie. Il consacra de nombreuses pages à sa fascination pour l’Inde, dans sa correspondance, et l’Inde se retrouve dans la plupart de ses écrits. Des mythes, icones et motifs indiens se retrouvent généralement dispersés dans ses récits. Plus particulièrement, Durrel succomba à l’idée de l’Inde telle qu’elle avait nourri l’imaginaire anglais pendant des siècles: l’Inde orientale. Il alla jusqu’à écrire un récit autobiographique dont un bon tiers est consacré à l’évocation de la vie ordinaire d’un personnage ordinaire vivant dans un pays ordinaire, mais bercé par son expérience indienne. Il serait donc naturel de s’attendre à trouver une vision critique cohérente de l’Inde et de ses habitants dans la critique consacrée à Durrel. Mais pareille quête s’avère difficile et les conclusions en sont plus que décevantes, frustant toute attente.

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