Abstract

En abordant le problème de l'intégration des Grecs à Toronto, on a adopté la méthode de l'analyse de situation. Suivant l'exemple de plusieurs anthropologistes, cette méthode insiste moins sur l'identité au groupe de référence, et plus sur les exigences normatives d'institutions sociales et de situations particulières. Il ressort que le comportement des immigrants peut osciller entre “Grec” et “Canadien”, suivant les circonstances. Ce point de vue jette quelque doute sur les croyances traditionnelles suivant lesquelles il y a corrélation entre la durée de résidence et le degré d'intégration. Les résultats indiquent que, en dépit d'une forte persistance de conservatisme culturel grec à la première génération, ceci peut être renforcé artificiellement par des contraintes extérieures ou laissé de côté en faveur des exigences des institutions canadiennes pour une plus grande ascension sociale. En parvenant au succès dans la société-hôtesse, toutefois, les membres de la deuxième génération peuvent de nouveau revenir au conservatisme grec sous la forme d'une participation active aux organisations ethniques.

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