Abstract

L'etude des chansons populaires chinoises par les intellectuels chinois se heurte peut-etre a l'ignorance academique mais surtout au gouvernement. Ainsi les publications ecrites ou audiovisuelles sont retravaillees afin de mettre en avant les « geming minge », les chants revolutionnaires venerant la politique chinoise. L'authenticite des anthologies des chants populaires chinois et des chants populaires du peuple gaoshan sont plus qu'incertaines.

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