This study investigates temporal and control interpretations with verbs of risk followed by non-finite complements in English. It addresses two questions: Why does the gerund-participle show variation in the temporal relation between the event it denotes and that of the main verb whereas the to -infinitive manifests a constant temporal relation? Why does the gerund-participle construction allow variation in control while the to -infinitive shows constant subject control readings? The study is based on a corpus of 1345 attested uses. The explanation is framed in a natural-language semantics involving the meanings of the gerund-participle, the infinitive, the preposition to , and the meaning-relation between the matrix and its complement. Temporal and control interpretations are shown to arise as implications grounded in the semantic content of what is linguistically expressed. It is argued that the capacity of a natural-language semantic approach to account for the data obviates the need to have recourse to purely syntactic operations to account for control. Cette etude porte sur les interpretations temporelles et de controle avec des verbes exprimant la notion de risque suivis par des complements infinitifs ou gerondifs en anglais. Deux questions y sont abordees : Pourquoi le gerondif montre-il une variation dans la relation temporelle entre l’evenement qu’il denote et celui du verbe de la principale, tandis que l’infinitif manifeste une relation temporelle constante? Pourquoi la construction gerondive est-elle caracterisee par une variation de controle alors que l’infinitif produit des lectures constantes de controle par le sujet? Un corpus de 1345 exemples attestes est examine. L’explication est formulee en termes d’une semantique de langage naturel fondee sur les signifies linguistiques du gerondif, de l’infinitif, de la preposition to et le rapport semantique entre le verbe de la principale et son complement. Il est demontre que les interpretations temporelles et de controle sont des implications fondees sur le contenu semantique de ce qui est exprime linguistiquement. On soutient que la capacite d’une semantique de langage naturel de rendre compte des donnees elimine le besoin d’avoir recours a des operations purement syntaxiques pour expliquer le phenomene du controle.
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