La frise des Panathénées, entre mimèsis et phantasia
Le Parthénon n’abrite pas la statue de culte primitive d’Athèna, à laquelle resteront toujours attachés les rites et les croyances. Ce n’est donc pas un temple, mais une offrande somptueuse qui propose de la patronne de la cité une image extrême, par sa grandeur et sa complexité. Son caractère votif est renforcé par la frise des Panathénées, autoportrait inattendu des dédicants, sous la forme de morceaux choisis des Panathénées annuelles, fête nationale d’Athènes où s’illustre diversement sa jeunesse. Or cette frise n’a pas l’unité de lieu et de temps d’un reportage : sa cohérence est esthétique. Elle doit être traitée comme une œuvre d’art où la mimèsis est transcendée par la phantasia, le réel transfiguré par l’imagination créatrice.
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