Abstract

Dans cet article, nous considérons l’importance des éditions illustrées des Mystères de Paris d’Eugène Sue (1842-1843), et de l’édition Rouff (1885), illustrée par Tofani, en particulier. Nous nous penchons d’abord sur les implications méthodologiques de l’étude d’un matériau non textuel et iconographique. Nous examinons par la suite le choix des scènes représentées, l’euphémisation du texte, la sexualisation de l’image et le rôle des légendes elliptiques. Les illustrations examinées rejettent et bouleversent les attentes d’un médium souvent supposé être synonyme de clarté, de révélation et d’explication. Elles témoignent d’une sensibilité aiguë aux limites et aux insuffisances du médium, ce qui anticipe le caractère réflexif et ludique, voire parodique, des mystères urbains ultérieurs.

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