Abstract

Le texte latin Disputatio nova contra Mulieres, Qua probatur eas Homines non esse de la fin du xvie siècle, a connu un grand succès après sa première publication. Aujourd’hui, ce livre, dont le titre soulève des doutes sur l’humanité des femmes, s’inscrit dans le cadre de la querelle des femmes. Il en existe deux traductions françaises : la première d’Anne-Gabriel Meusnier de Querlon réalisée en 1744, la seconde de Charles Clapiès publiée, en 1766. Les deux textes reflètent parfaitement le débat entre la traduction libre et la traduction littérale à l’époque des Lumières. Il est intéressant de les comparer, de voir lequel est une traduction fidèle et lequel n’est qu’une transposition.

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