Abstract
The current study is among the first to address the question of efficacy of a couple‐oriented prevention program in the context of the workplace. As many spillover and cross‐over effects between the workplace and couples’ private lives are known, such a focus seems promising. One hundred and fifty‐seven couples participating in the study were randomly assigned to three treatment conditions: a couple‐oriented intervention (Couples Coping Enhancement Training; CCET), an individual‐oriented coping intervention (ICT), and a waiting‐list control group. Self‐report data were collected at pre‐test, post‐test (2 weeks after the intervention), and at follow‐up (5 months after the training). Results are promising for the couple‐oriented intervention that significantly outperformed both the ICT and the waiting‐list control group. CCET participants scored not only higher in relationship variables (such as communication and dyadic coping) after the training but also in individual variables (e.g. burnout). These findings support the notion that companies should invest more in the well‐being of the relationships of their employees.Cette étude compte parmi les premières à aborder la question de l’efficacité d’un programme de prévention centré sur le couple dans l’environnement professionnel. Cette approche semble prometteuse puisque l’on a mis en évidence de nombreux processus de compensation et de transfert entre la vie de travail et la vie privée des couples. 157 couples relevant de la recherche ont été aléatoirement distribués dans trois conditions: une intervention centrée sur le couple (Formation des couples au renforcement du « faire‐face »—CCET), une intervention sur le « faire‐face » centré sur l’individu (ICT), et une liste d’attente faisant office de groupe contrôle. Des données fournies par les sujets ont été recueillies en pré‐test, en post‐test (deux semaines après l’intervention) et en suivi (cinq mois après l’intervention). Les résultats sont prometteurs pour l’intervention centrée sur le couple qui se révèle significativement plus performante que l’ICT et le groupe témoin. Les participants CCET ont de meilleurs résultats non seulement pour les variables relationnelles (telles que la communication et le faire‐face à deux) à l’issue de la formation, mais aussi pour les variables individuelles (par exemple le burnout). Ces constatations renforcent l’idée que les entreprises devraient investir davantage dans le bien‐être relationnel de leurs salariés.
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