Abstract
Depuis la première publication du « Roi-Grenouille ou Henri-de-Fer » dans les « Kinder- und Hausmärchen » du 19e siècle, on se heurte à l’aspect érotique du conte, à commencer par la scène de la fontaine, lieu de transition et de promesse. En l’occurrence, on oscille entre une « désexualisation » et une « re-sexualisation » non seulement du texte, mais également de sa représentation picturale. Comment les artistes contemporains ont-ils abordé cet érotisme ancré dans le conte lui-même ? Jadis comme naguère, ils ont trouvé leur propre piste d’interprétation.
 Mots clés: Contes, Frères Grimm, Le roi-Grenouille, « Désexualisation », Art contemporain
Highlights
2 «Pour Catherine Tauveron, les images qui accompagnent la réédition d’un conte relèvent d’une « seconde reformulation »
people have resented the erotic dimension of the tale
contemporary artists dealt with this eroticism
Summary
2 «Pour Catherine Tauveron, les images qui accompagnent la réédition d’un conte relèvent d’une « seconde reformulation ». Qui a librement associé le « Roi-grenouille » et « La Belle au Bois dormant » dans la réalisation d’une illustration mêlant les deux contes.
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